Jusque-là impuni par la république maçonne (dite française) qui faisait l'omerta sur ses diverses agressions sexuelles, comme de celles de tous les maçons, DSK trouva son maître dans la puritaine Amérique où le puissant et le misérable sont traités de façon égale, et je m'en réjouis. Cette égalité est d'ailleurs nommée "barbare" par la gauche.
Bien des journalistes disent que c'est la France qui est déshonorée !
Ce n'est pas mon sentiment.
Comme tous les juifs, DSK est apatride ; il n'aime pas le pays dans lequel il vit, il n'aime qu'Israël et il l'a dit publiquement.
C'est donc l'honneur de sa patrie-mère et de sa religion qui est souillé, et non celui de la France.
C'est aussi l'honneur de la maçonnerie qui est souillé, tout comme bien sûr celui des socialistes qui tous savaient, mais qui voulaient le porter à la magistrature suprême, et qui maintenant osent parler de complot pour nier les faits de leur challenger ! Pour les socialistes, la parole d'une femme de ménage ne compte pas, seule celle de leur violeur qui plaide non-coupable, donc mensongèrement, compte.
Moi, je sais depuis le 23 février 2011 que c'était un violeur, grâce à la vidéo de Tristane Badon, que j'ai diffusée immmédiatement sur Facebook et sur mon forum pour avertir les gens, et je n'ai pas été surprise, j'ai au contraire été heureuse que cette nouvelle agression sexuelle vienne mettre un coup d'arrêt à sa carrière sulfureuse. Je ne voulais pas d'un chef d'Etat violeur.
Je ne plains ni l'agresseur ni sa famille (complice de ses crimes) mais uniquement les jeunes femmes qui ont été ses victimes.