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 L'affaire Rylander, l'autre face

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AuteurMessage
superdjidane

superdjidane


Nombre de messages : 109
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Date d'inscription : 22/10/2005

L'affaire Rylander, l'autre face Empty
MessageSujet: L'affaire Rylander, l'autre face   L'affaire Rylander, l'autre face EmptyJeu 11 Aoû à 15:15

Topic en lien avec le sujet que j'ai ouvert ici : https://illuminati.actifforum.com/t158-interdiction-du-tabac-liberticide

Version officiel, des médecins payés grassement par les cigarettiers avaient combattu la thèse de la fumé passive. Vérité, les détracteurs de ces médecins était quant à eux payés à une tout autre échelle par Big Pharma pour combattre le tabac et l'alcool, volonté de l'OMS. sunny

Article paru sur l'ancienne version du blog des DDG, (avant qu'il ne soit changé en 2009) au sujet de l'affaire Rylander, rédigé par feu mon ancien ami Jacques-André Widmer. Voici ce qu'il s'est réellement passé :

Le Prof. Rylander communique (mars 2007): Par ce communiqué, je tiens à dénoncer publiquement des manœuvres politiques  qui ont permis des dérives intolérables dans l’affaire RYLANDER. C’est donc par voie de presse que je demande en particulier comment il se fait qu’une de mes lettres, adressée personnellement au conseiller d’Etat Charles BEER chef du Département de l’Instruction Publique (DIP), puisse se trouver sur la page de garde du site internet du CIPRET (www.cipret.ch), régi par M. Jean-Charles RIELLE, un de mes principaux adversaires dans cette affaire. Les médias se sont fait l’écho de ma disgrâce. Or ils se trompent lorsqu’ils répètent inlassablement que j’ai été condamné pour fraude scientifique. Le seul procès qui a eu lieu était celui que j’ai moi-même intenté à mes détracteurs pour diffamation, procès que j’ai d’ailleurs gagné  à deux reprises. C’est suite au dernier recours des condamnés et à l’acharnement médiatique que j’ai été débouté de ma plainte et condamné à payer des frais de justice. L’opinion publique aujourd’hui est donc persuadée que j’ai été condamné pour fraude scientifique. Or, la fraude scientifique, fait très grave pour un chercheur, n’a jamais été démontrée dans cette affaire, du moins selon les règles et usages du monde scientifique. C’est pour cette raison que j’ai écrit plusieurs fois au Recteur de l’Université ainsi qu’au Département de l’Instruction Publique afin d’obtenir un jugement fondé, scientifique et international et surtout non assujetti à la mafia antitabac de Genève. Je demandais en particulier de répondre objectivement et de manière neutre et circonstanciée à trois questions pertinentes :
1. la collaboration et les fonds que j’ais reçus de l’industrie du tabac étaient-ils en conformité avec les règlements de l’administration universitaire de l’époque ?
2. les contacts avec l’industrie du tabac étaient-ils différents de ceux d’autres membres du corps professoral ou de chercheurs avec des industries, particulièrement l’industrie pharmaceutique ?
3. les contacts avec diverses industries et leur soutien financier ont-ils influé du point   de vue scientifique sur les données et les conclusions de mes publications scientifiques ?
Et voilà qu’une de mes lettres à M. BEER,  restée comme les autres sans réponse, se trouve depuis quelques jours en évidence sur le site internet du CIPRET. Pour quelle raison?  Comment faut-il interpréter le fait qu’un conseiller d’Etat communique mon courrier sans me prévenir à M. RIELLE,  employé du DIP,  élu municipal du même parti que lui et dont on sait que la passion de son métier rend aveugle à toute équité et toute véracité scientifique. Il est vrai que l’Etat subventionne le CIPRET, ceci explique sans doute cela. Ma principale raison  à des démarches auprès de l’Université et du DIP reposait sur la défense de mon honneur comme chercheur et celle de mes collaborateurs qui n’y sont pour rien dans cette affaire. Collaborateurs qui eux aussi ont été cassés par cette chasse aux sorcières anti-tabagique avec des conséquences intolérables sur leur santé, leur travail, leur vie privée et familiale. Quand on voit la vindicte avec laquelle RIELLE et DIETHELM se sont obstinés  à faire limoger une de mes anciennes collaboratrices, il est peut-être temps d’examiner leur rôle effectif dans toutes ces manigances et leur manière de détourner la réalité.  Il suffit de voir l’affaire de Mme T. dont le licenciement abusif a été reconnu par le Tribunal Administratif et le Tribunal Fédéral, car ils ont même poussé le vice à publier sur leur site internet le courriel à l'origine du ce licenciement (retiré depuis peu suite à un courrier de l'avocat de Mme T. concernant la protection de la sphère privée). Pour le reste, c’est avec un torrent d’accusations, de conclusions biaisées et de faux témoignages qu’ils ont réussi après trois tentatives à convaincre la justice que les accusations portées contre moi étaient légitimes.  Prenant à partie l’Université, ils ont exigé une enquête. L’Université, sans doute par crainte d’un tapage pouvant relever d’autres dysfonctionnements et bercée par l’air du temps qui souffle contre le tabac, n’a pas cru bon de lancer une investigation internationale avec des experts indépendants et compétents comme c’est généralement la règle dans les Académies pour ce genre d’affaires. La commission Mauron, mandatée par l’Université, composée uniquement de membres internes et sans compétence particulière dans le domaine de la recherche sur le tabac, reprend dans son rapport les propos de mes accusateurs, utilisant les documents remis par eux sans chercher à vérifier leur pertinence. Et en plus, la commission, a eu le mauvais goût de remercier les deux anti-tabagistes. Ainsi, parce que j’ai travaillé avec l’industrie du tabac, je me vois à l’âge de la retraite continuellement traîné dans la boue, deux de mes collaboratrices ont été anéanties et les séquelles pour elles sont dramatiques. Jusqu’où vont-ils aller ? Car  ils sont opiniâtres les instigateurs de cette cabale, RIELLE et  DIETHELM qui utilisent les pires combines inquisitoires avec un mépris absolu des situations réelles, des vérités scientifiques et surtout des conséquences. Il est grand temps que les médias s’intéressent davantage aux dessous de l’affaire RYLANDER. Je reste à votre disposition pour toutes autres informations. www.tobaccoscience.se (Site du Professeur Rylander)
COMMENTAIRE DES DISSIDENTS DE GENEVE : La publication de cette mise au point du Prof. Rylander vient à point nommé sur notre site DDG, au moment où le président de la toute puissante Commission des Finances du Grand Conseil de Genève, le député libéral Pierre Weiss, exerce sa curiosité sur la gestion de trois associations subventionnées, dont le CIPRET. Et qu'il juge opportun d'écrire à la Cour des comptes.La mise au point du Prof. Rylander jette donc  une lumière entièrement nouvelle sur la campagne constante de dénigrement dont il a été la cible depuis des années. Sans que les media ne s'intéressent le moins du monde à son point de vue. Comme ils ignorent, pour la plupart, le point de vue de notre Association DDG, enivrés qu'ils sont par l'hystérie collective de la "fumée passive létale". Cet aspect de  la saga illustre bien la  complicité financière budgétaire chronique qui lie directement et publiquement le Conseil d'Etat à l'APRET-CIPRET par l'octroi d'une subvention annuelle à hauteur de CHF 1'000'000.- Discréditer le professeur Rylander au seul motif futile que ses recherches en matière de toxicologie du tabac étaient financées et ipso facto nécessairement influencées et orientées par l'industrie éponyme, équivaudrait à reprocher au bon Dr Rielle d'entretenir des complicités professionnelles et de partager le même souci de santé publique avec son confrère le Dr P.-F. Unger, devenu conseiller d'Etat.& Quel que soit le mécène de telles recherches, il n'en demeure pas moins que la "fumée passive létale" est une "escroquerie absolue", notamment au sens du Prof. Philippe Even, illustre pneumologue parisien des Hôpitaux de Paris. Qui songerait à reprocher au subventionné de tirer parti, pour sa croisade personnelle contre la "fumée passive mortelle", du million de francs qu' alloue l'Etat de Genève à son CIPRET chaque année ? L'opinion du préventionniste acharné serait-elle influencée et orientée pour autant par l'importance de la subvention obtenue ? Comme le concours de l'industrie du tabac aurait nécessairement influencé et orienté les travaux du professeur Rylander ? La science crapoteuse concluant à une "fumée passive létale" et les recherches du Prof. Rylander - si elles sont toutes deux financées par des tiers - ne sont pas pour autant de même nature.&br;&br;Cette forme de raisonnement "post hoc ergo hoc" ressemble à un grossier sophisme du genre " 400 ou 1000 morts en Suisse chaque année à cause de la fumée passive". Sans qu'un seul certificat de décès ne mentionne jamais ladite "fumée passive" comme cause de la mort. Et pour cause, la plupart des recherches médico-pharmaceutiques sont au moins co-financées par des laboratoires dans le monde. Qui songe à s'en offusquer ? L'Université de Genève n'avait donc "pas cru bon de lancer une investigation internationale avec des experts indépendants et compétents comme c’est généralement la règle dans les Académies pour ce genre d’affaires".Est-il trop tard pour le faire et rendre enfin  justice au Professeur émérite Rylander ? Le CIPRET qui n'est pourtant pas un organe de l'Etat,  affiche constamment les armes de Genève, notamment sur son site,  pour la promotion de sa campagne contre la prétendue "fumée passive mortelle".Ne serait-il pas grand temps que cette pratique abusive cessât ? Nous ne manquerons pas, Professeur, de vous contacter, au nom des Dissidents de Genève (DDG) pour en apprendre davantage sur les dessous de cette triste affaire qui dure depuis des années. Les révélations du Prof. Rylander mériteraient l'ouverture d'une enquête publique.
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